Les tournois de joutes font partie du folklore local. Un sport à part entière auquel participe toute la jeunesse « graulèene ».
Je joute, tu joutes, il joute, nous joutons !
D’origine médiévale, les joutes s’apparentent aux tournois chevaleresques.
De nos jours, les jouteurs «habillés de blanc» se défient encore en un combat singulier.
Une peña (fanfare) est toujours chargée de ponctuer les exploits des jouteurs.
Deux barques sont propulsées par huit à dix rameurs et ont pour but de faire tomber l’adversaire à l’eau.
Les «jouteurs» sont positionnés sur une plateforme se situant à près de trois mètres de l’eau, à l’extrémité de chaque barque.
Les deux barques font alors face, se propulsant l’une vers l’autre, jusqu’à l’impact final.
Au moment de l’assaut, les deux bateaux se frôlent par la droite pour permettre aux jouteurs de réaliser «la passe».
Muni de sa lance et du pavois, le jouteur a pour objectif de faire tomber son adversaire. Le vainqueur est celui qui reste en place après la passe.
Au programme
Je joute, tu joutes, il joute, nous joutons !
D’origine médiévale, les joutes s’apparentent aux tournois chevaleresques.
De nos jours, les jouteurs «habillés de blanc» se défient encore en un combat singulier.
Une peña (fanfare) est toujours chargée de ponctuer les exploits des jouteurs.
Deux barques sont propulsées par huit à dix rameurs et ont pour but de faire tomber l’adversaire à l’eau.
Les «jouteurs» sont positionnés sur une plateforme se situant à près de trois mètres de l’eau, à l’extrémité de chaque barque.
Les deux barques font alors face, se propulsant l’une vers l’autre, jusqu’à l’impact final.
Au moment de l’assaut, les deux bateaux se frôlent par la droite pour permettre aux jouteurs de réaliser «la passe».
Muni de sa lance et du pavois, le jouteur a pour objectif de faire tomber son adversaire. Le vainqueur est celui qui reste en place après la passe.
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